La biodynamie selon Gérard Bertrand
Renaissance de la vigne
Le printemps annonce le renouveau dans les vignobles. La phase végétative débute, les premières pleurs de vignes s’écoulent et le débourrement marque les premiers instants d’un nouveau millésime. C’est également la période de l’année où nos vigneronnes et vignerons sont aux aguets dans les vignobles.
En biodynamie, l’observation, l’analyse et la prise de décision sont indispensables pour la vie d’un vignoble. Protéger le vivant Après un hiver recouvert d’herbes, nos sols reçoivent leurs premiers soins, guidés par la biodynamie où 300 personnes travaillent quotidiennement pour révéler les Grands Vins de la région. Engagés dans la préservation de l’environnement, les vignobles Gérard Bertrand reçoivent un soin particulier, entre labours et traitements à base de tisanes de plantes.
Au fil des années, le sol, ce lieu qui abrite le plus d’espèces vivantes sur terre, gagnera en fertilité. Il existe environ 47 000 liens entre les micro-organismens et les bactéries dans les sols en biodynamie. Les préparations biodynamiques utilisées vont augmenter la vie microbienne de l’humus et booster les défenses naturelles de nos vignes. La biodynamie pour de grands vins.
De ces terroirs préservés naissent de grands vins qui respectent le cahier des charges de la biodynamie (certification Demeter) Issus d’une fermentation sans aide de levures chimiques et vinifiés avec des doses de sulfites bien plus faibles qu’en bio témoignent d’un vignoble en excellente santé. Un environnement préservé et des vins magnifiés démontrent la pertinence de l’approche.
Laissez un commentaire